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Jean-Luc GAUTHIER La politique autrement !


Ma position sur la mine de charbon de Lucenay  !

par Jean-Luc Gauthier,
Conseiller Municipal de St-Benin


    L'
environnement au coeur des débats.

S'il est un sujet qui revient régulièrement au premier plan, c'est bien l'environnement et c'est tout à fait légitime. En effet l'avenir de notre planète est en danger et il est plus qu'urgent, non seulement d'en être conscient, mais de prendre les mesures qui s'imposent pour éviter d'hypothéquer l'avenir des générations futures.

Nous sommes dans une société qui passe allègrement, d'une extrémité à une autre. Ainsi il est courant d'assister à des levées de boucliers à l'annonce de chaque projet de développement économique, que ce soit au niveau industriel ou agricole, l'actualité récente le démontre. Le progrès qui a permis l'amélioration des conditions de vie de chacun d'entre nous a causé quelques dégâts , pour autant devons-nous tout remettre en cause ? Je ne le crois pas. Ce qu'il faut avant tout c'est aborder les problèmes environnementaux, avec raison, responsabilité et bon sens.

Ainsi, si nous devons trouver très rapidement des solutions de remplacement au tout pétrole, nous devons nous réjouir de disposer d'un parc de centrales nucléaire, allégeant considérablement notre dépendance énergétique et la mise en place de centrales de nouvelle génération, qui ne produiront pratiquement plus de déchets est une bonne nouvelle. Devons-nous tout axer sur le nucléaire ? Non, le bon sens veut, tel un bon paysan de ne pas mettre tous ses oufs dans le même panier et de s'appuyer sur la nature pour y trouver ce dont on a besoin. C'est ainsi que l'agriculture a un rôle déterminant à jouer, notamment par la production de diester, d'éthanol ou de biomasse secteur encore largement inexploité. Mais il est des sources d'énergie encore plus naturellement à notre disposition : le soleil, le vent et dans le sud de notre département le charbon ! L'augmentation du prix du pétrole aidant, l'exploitation de ce gisement nivernais devient intéressante pour le secteur industriel. Pour autant l'économie doit-elle prendre le pas sur la préservation de notre environnement ?

Il me semble qu'il suffit de répondre à la question suivante : est-ce que l'exploitation de cette mine a ciel ouvert respecte le protocole de Kyoto signé par la France ? Protocole qui prévoit, notamment, la réduction des émissions de CO2 par les pays signataires. Même en n'étant pas un spécialiste de la question, il me semble que ce projet va à l'encontre de la signature de la France.

En prenant une telle position, on va me reprocher d'être contre la création de nombreux emplois ( environ 300 ) mais les élus qui, aujourd'hui soutiennent ce projet, ne peuvent-ils pas convaincre des industriels pour implanter dans notre département des unités de fabrications de panneaux solaires ou d'éoliennes ? Ceux enfin qui accepteraient de voir passer dans le jardin de leur voisin les pylônes acheminant l'électricité de la centrale à charbon vers les usagers seront, sans doute, d'accord pour implanter sur leurs pelouses des parcs éoliens, qui permettront de produire de l'énergie propre !

Le désert que certains élus, en leur temps, ont voulu instaurer dans notre département, ne doit pas conduire les élus d'aujourd'hui à tout accepter. Oui au développement économique de notre département, mais celui-ci ne passe pas, me semble-t-il par le charbon.

Saint Benin d'Azy, le 15 novembre 2006.


Ma position sur la gestion des déchets !

par Jean-Luc Gauthier,
Conseiller Municipal de St-Benin


    C
omme vous le savez, le 12 septembre dernier, s'est tenue à la salle polyvalente de la commune une conférence-débat, organisée par la société départementale d'agriculture, sur le thème des déchets ménagers.

A l'issue de cette réunion, il semble envisageable sur notre canton, de s'inspirer de l'expérience menée depuis déjà plusieurs années dans la communauté de communes « La porte d'Alsace » en matière de traitement et d'élimination des déchets ménagers. De nombreux habitants le souhaitent aujourd'hui, le futur l'exigera.

C'est la raison pour laquelle, je vous demande de proposer la distribution de bacs de compostage individuels, pour les foyers qui le veulent en remplacement des « kits bio déchets » et de mettre en place la pesée embarquée, afin d'encourager concrètement nos concitoyens à trier plus et mieux. Je vous sais, comme moi, sensible aux problèmes environnementaux, ceux-ci sont complexes et les bonnes solutions difficiles à trouver. Aussi je vous propose la mise en place d'un groupe de travail, composé d'élus, de membres d'associations environnementales et d'usagers dans le seul but de rendre plus efficace la gestion de nos déchets. Dans l'attente d'une réponse de votre part, je vous prie d'agréer, Monsieur le Président, l'expression de mes respectueuses salutations.

NB : copie à Mesdames et Messieurs les Maires du canton.


le 20 octobre 2005

Ma position sur la politique de l'environnement !
par Jean-Luc Gauthier,
Conseiller Municipal de St-Benin


    N
otre planète est en danger, réchauffement, modification du climat, (même si nous avons un véritable hiver) si rien n'est fait nous connaîtrons des changements radicaux, aux conséquences dramatiques pour la vie sur terre. Malheureusement en fonction des pays, ou de la situation de chacun, les préoccupations ne sont pas les mêmes et il est de plus en plus courant d'opposer environnement et activité économique, alors qu'avec un peu de volonté et d'imagination il est possible de concilier les deux.

Le problème n'est pas simple à solutionner et on peut dire sans se tromper que c'est en matière environnementale que les enjeux, qui nous attendent dans les années à venir, sont les plus importants à relever. Nous devons agir en citoyen responsable et ne pas hésiter à remettre en question nos pratiques, nos habitudes. Les solutions alternatives existent, elles sont méconnues par les consommateurs que nous sommes et ignorées, méprisées notamment par les grands groupes pétroliers. Dans ces conditions, que faire ? Il faut prendre des initiatives, et à ce titre les collectivités et les élus qui les dirigent doivent faire preuve de volontarisme et d'efficacité. Ainsi, je propose que toute rénovation ou construction de bâtiment public, dans les Amognes et pourquoi pas l'ensemble de la Région Bourgogne, intègre une installation de chauffage privilégiant les énergies renouvelables, solaire, éolienne, bois, paille, etc... L'objectif étant que ces équipements deviennent naturels dans l'esprit des consommateurs que nous sommes et qu'à terme ils se substituent au « tout pétrole ».

Des solutions existent, relativement simples à mettre en ouvre, il est important que le plus grand nombre soit informé et incité pour que nous devenions tous des agents du développement durable.

Jean Luc Gauthier.
le 23 Février 2005

Ma position sur l'épandage des boues de stations d'épuration !

par Jean-Luc Gauthier,
Conseiller Municipal de St-Benin


    Après le CSDU, voilà un autre cadeau empoisonné avec l'épandage des boues de station d'épuration.
Le sujet est trop grave pour être traité de façon épidermique et non réfléchie. Mon métier d'agriculteur ne me permet pas de l'aborder avec la rigueur scientifique d'un chercheur de l'INRA. Par contre ma connaissance de la nature, de la terre m'autorise à dire que ces pratiques sont terriblement dangereuses :
- pour ceux qui utilisent ces boues,
- pour l'ensemble de la profession et sa survie,
- pour le monde rural, et l'environnement.

    Notre société de consommation produit, malheureusement, de plus en plus de déchets, et les consommateurs que nous sommes ne se préoccupent que rarement du devenir de ces derniers. Il est souhaitable que chacun se sente concerné par ce problème.
Les stations d'épuration des villes, et maintenant de chaque village, génèrent des boues dont il faut bien se débarrasser.
Il était très pratique de se servir des agriculteurs pour les recevoir, les épandre, et les recycler…
Ces boues, " nivernaises ou parisiennes " représentent un réel danger. On ne connaît pas ce qu'elles contiennent exactement : métaux lourds, microbes, bactéries, résidus d'antibiotiques ? Dans quelles proportions, sous quelle concentration ? Mais ce que l'on sait déjà implique avant tout d'appliquer le principe de précaution :
- Leur valeur fertilisante reste encore à prouver, s'agissant de résultats significatifs mesurés au niveau du sol.
- L'académie Nationale de Médecine, attire l'attention sur une contamination possible des eaux…

    Autre fait troublant, pourquoi les boues " parisiennes " ne sont-elles pas épandues sur les terres du bassin parisien ? Pourquoi, la Suisse refuse-t-elle de le faire sur son territoire ?

    Avec certains collègues, j'ai créé l'association " IXYONE Communication " dans le but de promouvoir l'agriculture, en tissant des liens étroits entre les agriculteurs et la population qui vit parmi nous. Nous avons voulu cette nouvelle relation basée sur la confiance et la transparence. C'est ensemble que nous devons décider de ce qui est bon pour notre terroir, pour notre environnement, pour les produits que nous élevons et qu'ils consomment, avec un souci de qualité toujours plus exigeant.

    En tant que conseiller municipal, j'ai demandé que soit joint à la facture d'assainissement de chacun, une analyse technique des boues produites par la station d'épuration de St Benin d'Azy.

    Je pense que cette histoire d'épandage des boues d'épuration est une raison supplémentaire de réunir autour d'une table, tous les acteurs de l'environnement, sous les conseils éclairés d'experts indépendants, pour enfin établir un plan de collecte et de traitement de nos déchets, qui réglementera de façon cohérente et complète l'ensemble de la chaîne, et dans lequel chacun se retrouvera. Il s'agira ensuite de l'expliquer et de le faire appliquer à l'ensemble de la population du département.

    Méfiez-vous aussi des écologistes d'opportunité, qui mélangent sans vergogne les boues nivernaises et parisiennes à des débris végétaux qu'ils vous vendent comme compost. En utilisant de tels fertilisants pour vos jardins, vous prenez le même risque…


Jean Luc Gauthier,
le 03 Mars 2004.


En tant que Président du GDA

            Les agriculteurs, membres du G.D.A. (Groupement de Développement Agricole) du Centre Nivernais, engagés depuis plusieurs années dans l'amélioration de la qualité de leurs produits, par un suivi technique rigoureux et transparent, tout en reconnaissant la valeur fertilisante des boues de station d'épuration, optent pour le strict principe de précaution.

Le seul respect de la réglementation en vigueur en matière d'épandage sur les terres agricoles, ne nous apparaît pas comme suffisant. En acteurs responsables, de la qualité de l'environnement de nos exploitations, nous souhaitons avoir plus d'information sur les conséquences de cette fertilisation.

Nous en appelons à la responsabilité de chacun dans l'utilisation de ces produits et insistons pour que l'obligation d'un plan d'épandage soit maintenue, renforcée, et validée par tous les contrôles préalables nécessaires.

Enfin nous pensons que ces pratiques sont préjudiciables à l'image de notre métier et de nos produits.
Pour le G.D.A Centre Nivernais.

Le Président
Jean Luc Gauthier,
le 19 février 2004.



 

Je me bats pour le maintien de notre Maison de Retraite !

 

Lors de la dernière séance du Conseil Municipal, j'ai abordé la situation de notre Maison de Retraite.

Je dis « notre » car, vous savez comme moi, qu'elle est née de la volonté des anciens élus de notre Commune, de notre Canton et qu'elle fut dirigée pendant de nombreuses années par l'un des nôtres : M. Frobert.

Aussi, aujourd'hui, en ma qualité d'élu municipal, je crois qu'il est de mon devoir de faire en sorte que cet établissement, que l'on nous a longtemps envié, reste ou redevienne un lieu de repos, de tranquillité et de bien-être pour les résidents, mais aussi un outil moderne et fonctionnel pour ses employés.

Ce dossier, que j'avais évoqué, au même titre que celui du Centre Social, de l'agriculture, du développement touristique ou du collège, lors des dernières campagnes cantonales et municipales, m'avait valu de la part de certains de mes adversaires, la qualification d'incompétent et d'opportuniste !

Malheureusement, les faits m'ont donné raison, puisque le Centre Social est aujourd'hui sans local . Et que les problèmes de la Maison de Retraite ont fini par sortir de leur confinement.

Il est de mon devoir de citoyen et d'élu de faire tout ce qui est en mon pouvoir, pour que sur ces dossiers, les choses s'améliorent enfin.

C'est ainsi que j'ai présenté les faits en conseil municipal, et à ma grande stupéfaction, Madame Lereu m'a interrompu, en me disant que « ce point n'était pas inscrit à l'ordre du jour, que le conseil municipal n'était pas compétent en la matière et que de toutes façons on n'y pouvait rien.  » !!!

Après un bref instant de surprise, j'ai repris, en posant deux questions à mes collègues conseillers : « 

         1- Etes-vous prêts à vous impliquer, afin que la Maison de Retraite redevienne au moins ce qu'elle était, pour qu'à la fois les résidents et le personnel s'y trouvent bien ?

         2-Si oui, êtes-vous d'accord pour participer à un groupe de travail élargi à d'autres personnes sensibilisées à ce problème ? »

 

         Ces deux questions avaient pour objectif de lancer le débat entre les membres du Conseil, pour qu'au delà de nos différences, nous nous engagions de toutes nos forces pour sauver la Maison de Retraite.

Et là, mis à part un conseiller qui a répondu du bout des lèvres à une question, tous les autres ont regardé le bout de leurs chaussures !

Affligeant !!! Sans doute n'ont ils pas osé prendre position contre leur chef qui ne voulait pas ouvrir de débat sur la Maison de Retraite.

         Bien sûr, je n'appartiens pas à la liste majoritaire, mais sur des dossiers comme celui-ci, je pensais que nous avions le devoir de faire front commun pour mettre en ouvre des solutions qui existent.

La Maison de Retraite, et au delà les personnes âgées, sont des domaines qui nous concernent : nous avons tous des parents en âge de fréquenter ces établissements et nous-mêmes, un jour ou l'autre, y serons confrontés.

Ce que nous sommes, nous le devons avant tout à nos anciens. Il est donc à la fois juste et de notre devoir de veiller à leur bien-être.

Une Société, qui oublie ce genre de valeur essentielle, est malheureusement en route pour le chaos ! Même si elle se gargarise avec de grands mots ou Solidarité le dispute à Action Sociale.

Si certains n'ont pas le courage de s'engager, vous pouvez compter sur ma détermination, ainsi que celle des femmes et des hommes qui travaillent avec moi sur ce dossier, comme sur bien d'autres, pour obliger notre Commune et notre Canton à faire de gré ou de force ce qui est digne et indispensable pour notre Maison de Retraite.


Jean Luc Gauthier,
(Les Chailloux - le 01/05/02)

Ma position sur le Centre d'Enfouissement de Déchets Ultimes de St-Jean aux Amognes !

 

« Depuis quelques jours, les Amognes sont en ébullition. En effet la majorité d'entre nous apprend qu'un Centre d'Enfouissement Technique de déchets de catégorie 2 est en phase d'installation. Ce projet, important à plus d'un titre, n'est pas récent et l'on peut légitimement s'interroger sur le silence entourant ce dossier. Qu'en est-il aujourd'hui ?

 

La loi prévoit que chaque département prenne en charge l'élimination et le stockage de ses déchets. C'est ainsi que les responsables départementaux se sont penchés sur ce problème et aidés par des personnalités compétentes (géologues...) se sont mis à la recherche d'un site et d'une solution pour le stockage de nos déchets.

 

En 1997, on nous annonce que le site idéal a été trouvé, il s'agit d'une exploitation agricole, située sur la commune de Guipy (canton de Corbigny), rachetée par la SAFER, dont le sol et le sous-sol présentent les meilleures garanties du département. Malheureusement la proximité d'une source, qui avait échappé aux experts, mais aussi des élections cantonales conjuguées au refus des riverains auront raison de ce projet.

 

Depuis d'autres projets ont été présenté, Dornecy, Annay, avec à chaque fois le même résultat, une forte mobilisation des riverains et des élus aboutissant à l'ajournement du dossier. Cette fois-ci, sur nos Amognes les choses sont un peu différentes, c'est comme si les parties (propriétaire du terrain, entreprise porteuse du projet et responsables locaux et départementaux) avaient intérêt à mener ce projetà son terme.

 

Certains lecteurs-internautes reprochent aux élus de notre canton leur silence et leur immobilisme, qu'en est-il exactement ?

 

Quand on est élu, donc représentant de ses concitoyens, on se doit de ne pas agir dans la précipitation et d'analyser sereinement les choses, afin de tenter de les régler dans l'intérêt de tous. Cela veut dire qu'après le temps de la réflexion doit venir le temps de l'action et non pas l'inverse. En ce qui me concerne, j'ai pris le soin de rencontrer Monsieur de Faverges (propriétaire du terrain) et la SITA (l'entreprise porteuse du projet) pour connaître le contenu du dossier ; j'ai également discuté avec le collectif qui s'oppose à ce centre d'enfouissement. Dès le début ma volonté a été de faire en sorte que tous ceux qui le souhaitent puissent avoir connaissance du dossier, pour se faire une opinion, et ainsi, au moment de l'enquête publique, que chacun puisse faire part de ses remarques et observations. Je dois dire que d'emblée les différentes parties (propriétaire, SITA, collectif) m'ont donné leur accord pour organiser cette information.

 

J'ai donc rencontré Madame Lereu, pour lui faire part de ma volonté d'organiser, avec son accord et sa participation, une réunion publique sur Saint Benin d'Azy. Dans un premier temps, elle a accepté ma proposition, mais après avoir entendu parler des débordements au cours de la réunion organisée par son collègue de Saint Jean aux Amognes, elle m'a dit préférer ajourner cette réunion d'information. C'est son droit, mais cela ne m'empêchera pas de vous proposer cette information, afin que vous puissiez à votre tour vous faire votre opinion. Je souhaite que cela puisse se faire de façon constructive, en respectant toutes les parties, quelques soient leurs positions sur ce projet. Les réunions qui seront organisées, ne doivent pas se transformer en tribunal populaire, comme elles ne doivent pas être l'occasion de faire ressurgir, je ne sais quelle histoire passée, elles doivent être un lieu de débat, d'échanges constructifs et non pas passionnels.

 

Pour ma part c'est dans cet état d'esprit que je travaille sur ce dossier depuis le début. J'ouvre pourque les différentes parties puissent débattre, échanger leurs arguments afin de trouver la meilleure solution dans l'intérêt de tous. Car même si je pense que ce projet présente plus d'inconvénients et de dangers que d'avantages, et qu'à ce titre il ne doit pas se faire, ce n'est pour autant que le problème de l'élimination de nos déchets sera réglé.

 

Je demande donc aux instances départementales (Préfecture, Conseil Général) de bien vouloir nous informer, à la fois, sur les différents sites de la Nièvre qui pourraient recevoir un tel centre, mais aussi de bien vouloir nous présenter les différentes solutions de traitements des déchets existantes, car l'enfouissement n'est pas la seule solution. Dans le même temps, il faut avoir le courage d'avancer rapidement sur la réduction des déchets en agissant à la fois sur les procédés industriels et en incitants les consommateurs à réduire ces mêmes déchets (pesée...)

 

Ce n'est qu'à ce prix que l'on règlera le problème de façon durable.»

Jean Luc Gauthier,
(Saint-Benin - le 01/03/03)